Initiative ISCN ?

16 octobre 2013

Contenu sur le net, piratage, offre légale, résumé

Filed under: Uncategorized — yt75 @ 2:20

En résumé :

– le piratage zéro n’a strictement aucune importance, mais il est techniquement aujourd’hui tout à fait possible de faire énormément baisser le piratage (et sans interdire de protocoles, ni monitorer les flux utilisateurs), et les hypocrisies diverses et variées du genre « p2p ya pas de centres! » ne sont pas forcément obligatoires :
https://iiscn.wordpress.com/2011/05/15/piratage-hadopi-etc/
– une offre légale basée sur des écritures de droits d’accès sur des comptes offre une vraie plus value à acheter par rapport à pirater, c’est à dire une offre vraiment atawad (any time any where any device), « si j’ai acheté ça, ça marche et puis c’est tout », je ne m’occupe d’aucun fichiers. (A l’inverse du cas actuel ou acheter ne peut tout au plus qu’amener à des emmerdes supplémentaires).
– c’est d’ailleurs dans ce sens qu’évolue l’offre légale : amz, gg play, ultraviolet, plus ou moins itunes.
– si l’on considère que le fait que cela se termine en 2 ou 3 monstres n’est pas forcément souhaitable
– si l’on considère que la confidentialité des bibliothèques personnelles est quelque chose d’important
– Alors c’est surtout un nouveau rôle, plusieurs organisations dans le rôle, et séparation claire des rôles qui est nécessaire :
https://iiscn.wordpress.com/2011/05/15/concepts-economie-numerique-draft/

ou texte (2007) :

Cliquer pour accéder à copies_licences.pdf

Avec aussi :
– une très forte baisse des prix (pari nécessaire : plus « grosses » bibliothèques chez chacun, l’important pour une « œuvre » c’est son chiffre d’affaire ou revenu, pas le nombre de copies ou droits d’accès vendus)
– aucun DRMs du type « traficotages de fichiers pour empêcher la copie », qui ne font qu’emmerder ceux qui achètent (ou créent de la moins-value « customer experience » si vous préférez), sans changer quoi que ce soit pour ceux qui piratent.

Quant à la licence globale (ou autre approche taxe), cela se résume à :
1) Prélèvement uniforme indépendant des contenus écoutés/consultés/lus, etc
Ensuite pour la redistribution soit :
a) mesures d’audience et de consultations précises : approche nécessairement la plus Orwellienne possible (pour éviter les consultations simulées par exemple).
b) revenus des taxes redistribués sous forme de « subventions à la création », c’est à dire mise en place du ministère omnipotent de la culture gardien du bien, du bon goût, et des cordons de la bourse.
Sans même parler de praticité de mise en place au dessus des infrastructures de piratage.
https://iiscn.wordpress.com/2011/07/03/licence-globale/

Et le vrai gratuit, c’est à dire décidé par les auteurs et diffuseurs, très bien aussi bien évidemment.

Par ailleurs exactement le même rôle, organisations, et comptes, est ce qui est nécessaire dans le contexte « net identity », pour que les choses fonctionnent « sans friction », avec maintien d’une sphère privée et confidentialité :https://iiscn.wordpress.com/2011/06/29/idenum-une-mauvaise-idee/

3 mars 2012

A propos de la Tribune de Hollande dans le Monde

Filed under: Uncategorized — yt75 @ 2:24

Tribune dans le Monde :

http://abonnes.lemonde.fr/idees/article/2012/03/02/la-loi-hadopi-doit-etre-repensee_1650922_3232.html

Pas mal du tout cette Tribune, de fait hadopi fait tout à l’envers et depuis le début, et sortir des hypocrisies technoides diverses genre « p2p ya pas de centres ! » ne serait pas plus mal :

https://iiscn.wordpress.com/2011/05/15/piratage-hadopi-etc/

Mais de vrais changements « constructifs » et non uniquement « légalistes sur l’existant » sont nécessaires.D’une part dans la définition d’une notion de « licence globale »(pas au sens couramment utilisé, mais au sens « droits d’accès à vie ou autre » à une œuvre ou édition xyz pour une personne, indépendamment des fabricants de machines, magasins en ligne, réseaux « sociaux », etc) et surtout nouveau rôle et organisations associées nécessaires –plus ou avant les aspects techniques– autour de ces licences :

https://iiscn.wordpress.com/2011/05/15/concepts-economie-numerique-draft/

Et d’autre part ce nouveau rôle et organisations nécessaires, exactement les mêmes que pour la problématique « identité sur le net et données personnelles » (et bataille rangée actuelle à ce sujet entre fb, g+ , twttr , amz, etc) :

https://iiscn.wordpress.com/2011/06/29/idenum-une-mauvaise-idee/

Quant à la « licence globale » au sens usuel, bien évidemment non seulement techniquement strictement inapplicable, mais surtout direction la plus Orwelienne possible (sous ses atours démagogiques classiques) :

https://iiscn.wordpress.com/2011/07/03/licence-globale/

Mais il faut aussi sortir de l’état d’esprit « tout services d’abonnements à catalogues » :

https://iiscn.wordpress.com/2011/06/28/la-vod-un-concept-denfant-de-la-tele-a-oublier/

Les deux modèles non mutuellement exclusifs, mais il est clairement essentiel de mettre en place, — aussi et surtout,— un environnement atawad d’achat à l’acte de licences, lien ci dessus (modèle draft) ou texte (2007) :

https://iiscn.files.wordpress.com/2011/03/copies_licences.pdf

Et après on lit ça :

http://www.numerama.com/magazine/21894-le-ps-assure-que-francois-hollande-ne-repense-pas-hadopi.html

Avec à la fois :

« Une tribune publiée ce matin dans Le Monde et titrée « La loi Hadopi doit être repensée » a laissé cette impression. Fleur Pellerin, en charge de l’économie numérique au sein de l’équipe du candidat socialiste, affirme que non, expliquant que le titre originale de la tribune a été changé par la rédaction du journal. »

et :

«  »À entendre Fleur Pellerin, le dispositif de riposte graduée devrait donc bien disparaître au profit d’un nouveau mécanisme. »

C’est une blague ? Et on ne voit pas en quoi le titre de Hollande, ou celui du Monde d’ailleurs, serait en contradiction ou pas avec quoi que ce soit ci dessus …

Soit on s’en prend aux centres, — ce qui on ne le répétera jamais assez, permet aussi de sortir de l’approche délirante « monitoring des flux utilisateurs à tout va », soit on s’en prend aux utilisateurs finaux, soit on dit tout ça c’est très bien et niaiseries Orwelliennes inapplicables genre licence globale par dessus, il serait vraiment temps de le comprendre, et d’être éventuellement un peu plus clair ..

1 mars 2012

Structure de base de « lambda bases » (pour mémoire)

Filed under: Uncategorized — yt75 @ 5:24

Pour démarrer Tpaedia et TinLisp (noms à choisir), et en utilisant fichier-segments-initiaux

So two tables, the one on the left holding the “one parameter functions defined by extension definitions” as “triples”, with first column the function ISCN, second one the parameter ISCN, and last one the image value ISCNs, all functions of one parameters in the same table in this implementation, even though only the “name1”(7.2.3) one used or written in this sketch.

The table on the right holding all “objects”, so “atoms” “functions as extension” “function as intention”, and “values”, in this basic thing. Three columns, first one the object ISCN, second one its “basic type”(also an iscn even though names used here), last one nothing in case of atoms and “function defined as extension”(or repeated iscn of itself), the actual value or literals for all “values”.

So in that case in the “atom and values table” :

–       5.2.41 for capital letter A, having basic type #atom and nothing as value, 5.2.x being the “prefix” allocated for all Unicode code points

–       7.2.3 for the “name1” function here defined by extension, having some basic type #function-defined-by-extension-of-1-param (could add other type (and table) for two params, etc, for practicality reasons in expression, one being sufficient with currying principle), and 7.2.x being the prefix of “all iscn concepts” in fact this one could be allocated in “Unicode concepts as well” using 5.3.x prefix

–       5.4.7 being the “slot” for the value of name1 on capital-letter-a, of basic-type “ascii-string” (could use utf8 all over here), and prefix 5.4.x being the one of “unicode world heap”

–       7.3.8 the value slot of name1 function on name1 with type ascii-string and value name1

–       5.3.5 being a “Unicode object” here the “greek script” 5 taken at random defined directly as an array here, allocated in 5.3.x prefix for “all other Unicode objects”, maybe better if “all other unicode objects” all defined as atoms, and the array in this case the result of some “value” function, but basically the idea here is to treat all Unicode defined objects as part of the environment, and so 5.2.5 can –also- be considered an atom, just 5.2.5 being the ISCN of the “greek script” strictly as defined by Unicode. And if moving from one choice to the other 5.2.5 wouldn’t change.

Then in the “function of one parameter” table :

–       first line the triple about name1 value of capital letter A

–       second line about name1 value of name1

4 février 2012

Commentaire en attente de validation (2)

Filed under: Uncategorized — yt75 @ 11:38

Weekend, froid, ou « modération » chez les technotopistes acharnés mais gentillés ? à voir …

Sur :

http://owni.fr/2012/02/03/le-flou-de-lapres-hadopi/

En texte :

Il faut plus que des lois, aussi un aspect « constitutionnel » ou constructif nécessaire dans la définition d’un nouveau rôle et organisations associées.

Pour quelque chose comme :

https://iiscn.wordpress.com/2011/05/15/concepts-economie-numerique-draft/

Et exactement même rôle et organisations nécessaires au sujet de  :

https://iiscn.wordpress.com/2011/06/29/idenum-une-mauvaise-idee/

Techniquement quasi tout est déjà là.

21 janvier 2012

Commentaire en attente de validation

Filed under: Uncategorized — yt75 @ 4:39

Ci dessous commentaire en attente de validation sur l’article :

http://www.actualitte.com/actualite/monde-edition/societe/pour-une-democratisation-de-la-culture-filippetti-monte-au-creneau-31387.htm

Commentaire :

———————–

« Le discours de la gauche reste axé sur la protection du droit d’auteur, mais pointe l’échec d’une législation qui n’aura fait que déplacer les pratiques de téléchargement, vers celle du streaming. Et l’arrivée d’une Hadopi 3, chargée de combattre cette nouvelle pratique montre « que l’on est toujours en train de courir après la technologie ».  »

A ce sujet pourquoi ne pas comprendre une bonne fois pour toute (ou au moins une fois) que :
– Il y a toujours des centres dans le piratage (dire le contraire est ne rien y connaitre ou du mensonge, « peer to peer » aussi vaste hypocrisie dans les termes et tout le monde le sait), et des centres ça veut aussi dire des personnes morales (officielles ou non), ou physiques.
– De là inutile de partir dans des détails techniques, mais déjà considérer qu’il y a deux possibilité dans la lutte anti piratage : S’en prendre aux centres ou aux utilisateurs finaux.
Pour faire une comparaison avec la « vraie vie » (comme on dit, quelle régression dans l’emploi du terme virtuel lié à numérique etc, enfin bref), si il y un magasin de produits contrefaits et que vous voulez lutter contre la contre façon, vous pouvez soit :
– fermer le magasin
– courir dans la rue après les clients sortant du magasin.
Ensuite, remarquer que l’approche « fermer le magasin » ne nécessite **EN RIEN** de mettre son nez dans la vie privée des gens et délires qui vont avec genre monitoring flux utilisateurs et collectes adresses IPs à tout va.
D’autre part d’un point de vue technique, fermer les magasins est quoi qu’on en dise beaucoup plus facile et « resilient », beaucoup moins sujet à contournements, que courir derrière les clients et « portes dérobées », et en laissant le magasin en place.

A partir de là, il devrait être (et est tout à fait) possible de dissocier la définition juridique et procédures légales associées d’une part, et les procédures techniques de fermeture utilisable de l’autre.
– Et il est essentiel que ces procédures soient effectivement avant tout juridiques et pas de simples opérations de police (et par exemple le fait d’essayer d’utiliser un « centre » pour lequel une décision de fermeture a été prise, devrait d’une manière ou d’une autre transmettre un message avec lien/référence de la décision juridique associée à la décision de fermeture, fermé par décret n° tant, etc)
https://iiscn.wordpress.com/2011/05/…

« Car le nouveau combat, « c’est le livre numérique. Le livre repose sur quoi ? Sur des libraires indépendants. Pour les défendre, il faut avoir une taxation spécifique de sites comme Amazon. » Après la taxe Google, donc, on voit comment se profile l’avenir.  »

Donc là c’est la critique de l’approche « taxe », ou pas ?
Pas très clair, surtout après avoir promu (ou continuant à promouvoir), la licence globale.
Et de fait plus que sur des libraires, il me semble que l’édition de livres repose aussi et avant tout sur des éditeurs indépendants (et auteurs, quand même aussi). Et la « tension » actuelle, est beaucoup plus entre Amazon et les éditeurs que libraires (ou si ce n’est plus disons), et cela encore plus vrai dans le contexte du numérique (avec en particulier pouvoir sur les pourcentages que peuvent amener les situations de quasi monopole).
A ce propos, remarquons qu’il manque aujourd’hui « quasi rien », pour qu’il y ait un environnement d’achat à l’acte offrant d’une part :
– Une réelle « plus value » utilisateur à acheter par rapport à pirater. Et indépendance, machine, magasin en ligne « réseau social »
– Et permettant à plusieurs magasins, éditeurs, « hosteurs de copies », d’être dans le même environnement avec quasi aucune infrastructure commune associée, ramenant par là même un certain équilibre dans les négociations …
Cela un peu développé ci dessous et commentaires (et texte « copie licences »(2007) en lien) :
https://iiscn.wordpress.com/2011/05/…

2 janvier 2012

Vestale sous contraintes (exercice ludique en courrier 10)

Filed under: Uncategorized — yt75 @ 12:55

work/œuvre de 93 94, à l’origine un programme perl avec les « frames » compressées dans le programme lui-même et 3 ou 4 lignes de code pour les décompresser/jouer. Ce fichier perdu mais retrouvé un output!, si par un extrême hasard quelqu’un l’avait je serais heureux de le récupérer (posté sur usenet à l’époque).

Un peu plus net : Sur dailymotion

Ou à regarder plutôt en « pur ascii » :

http://asciimator.net/asciimation/9740

(cliquer sur le bouton « player » puis bouton « > »)

Timing à revoir (et quelques morceaux à rajouter)

Au passage merci aux personnes de ce site, éditeur d’animation très pratique et facile à utiliser.

29 septembre 2011

Dali et la cybernétique

Filed under: 3 Littérature-philosophie-etc,Uncategorized — yt75 @ 8:26

« L’éblouissement scatologique du sacré qui doit être la virgule pointilliste culminante de tout fête qui se respecte sera, de même que dans le passé, exprimé par le rite sacrificiel de l’archétype. De même qu’au temps de Léonard on procédait à l’éventrement du dragon des blessures duquel émergeaint des fleurs de lys, aujourd’hui on devra procéder à l’éventrement des machines cybernétiques les plus perfectionnées, les plus complexes, les plus coûteuses, les plus ruineuses pour la communauté. Elles seront sacrifiées pour le seul bon plaisir et divertissement des princes, recocufiant ainsi la mission sociale de ces formidables machines qui par leur pouvoir d’information instantanées et prodigieuses n’auront servi qu’à procurer un orgasme mondain et passager et à peine intellectuel à tous ceux venus se brûler à la flamme glaciale des feux de diamants cocufieurs de la fête supracybernétique. »

(Journal d’un génie, 1964, page 218 édition l’imaginaire Gallimard, isbn : 2-07-073811-6, plusieurs autres passages sur la « cybernétique »)

3 juillet 2011

Licence globale

Filed under: Uncategorized — yt75 @ 9:04

La licence globale serait la pire des solutions.

Résultat ? Un espèce de ministère de la culture comme unique éditeur, tenant les cordons des subventions, Royaume définitif du copinage, de la magouille, et de la censure « gentillette » ..

Ou alors,  si vraies prises de mesures d’écoutes/lectures des œuvres, et redistribution à la sacem : Vas y que je te télécharge mon truc le plus de fois possible avec les amis, machines tournant en boucle et tout, histoire de faire grimper mes tickets.

Et ceci sans même parler du fait de savoir quelles œuvres sont téléchargées à travers les multiples mises en ligne sans références communes.

Remarquons aussi que la licence globale, cela veut dire continuer à accumuler disques durs, CD/DVD gravés, back up et multiples synchronisations entre appareils, etc

Là où le modèle proposé permet de s’affranchir de tout cela : J’ai acheté quelque chose, je peux le lire, écouter, regarder n’importe quand sur n’importe laquelle de mes machines actuelles ou futures sans me soucier de fichiers ou copies : constitution d’une bibliothèque (disco, vidéo, sito thèque).

17 juin 2011

Un exemple d’utilisation des « m accounts » : réparer l’email

le spam a plus ou moins tué l’email (ou bien abimé)

pourtant l’email c’est pratique

espace d’adresse c’est à dire réseau social, non monopolistique

Mais pas vraiment de police pour le spam, par contre de la police dans les réseaux sociaux, moins de spam, donc on vient chercher la police ! (ici privée, ou on n’y va pas)

possibilité :

on peut enregistrer son email sur son m account tenu par A ou B*

sur un envoi d’email il est inscrit que l’email est enregistrée chez A ou B (mais pas la gestion de la boîte, on peut enregistrer une adresse gmail ou hotmail sur son m account tenu par a ou b)

en réception on peut décider de ne recevoir que les messages dont l’adresse est enregistrée quelque part (avec vérification auprès de A ou B à la réception si considéré comme nécessaire)

si une adresse spame, on peut se plaindre chez A ou B si elle est enregistrée, et si elle n’est pas enregistrée et que l’on a décidé de ne pas recevoir les messages d’adresses non enregistrées, on ne les reçoit pas

en cas de plainte A ou B est tenu de dire à travers la justice (règles à définir) à la personne ayant enregistré l’adresse de se calmer

*: A ou B sont ici des « tiers de confiance » ou « m account managers » comme définis dans concepts économie numérique draft

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