Initiative ISCN ?

15 Mai 2011

Concepts économie numérique draft

Il y a :

  • Des utilisateurs
  • Des « M account managers »
  • Des Service providers, content diffusers, hosters
  • Des Shops
  • Des éditeurs et créateurs d’œuvres, de services, (sites, films, disques, sites genres static contents ou pas)
  • Utilisation des ISCNs pour toutes les problématiques d’identification (et donc en particulier de tous les numéros GS1, ISBN,  ISAN ou autres, pour beaucoup d’œuvres existantes quand ça fait sens)

D’autre part :

  • Chaque utilisateur a un (ou quelques) M-account
  • Chaque M-account est « géré », à un instant donné, par une organisation « M account manager »
  • Un M account peut être transféré d’un M account manager à un autre
  • Le M account number est utilisé dans aucune transaction
  • Un utilisateur peut acheter des œuvres ou éditions dans n’importe quel shop, sous forme de licence « à vie » ou d’abonnement
  • Une œuvre ou édition d’oeuvre ou service est à un instant donné hosté par un hoster (cela peut changer)
  • Les accounts managers peuvent être les banques?, FAIs?, ou nouvelles organisations ?, mais en tout cas plusieurs et licence de rôle spécifique

Note : modèle également présenté dans copies_licenses (nov 2007)

Et même organisations et comptes « nécessaires »(enfin utilisable) pour la problématique « net identity » (où l’approche ID unique par utilisateur partagé entre tous les services n’est en rien nécessaire, et devrait être évitée à tout prix)

 

46 commentaires »

  1. Par pitié, aidez-nous en écrivant en FRANÇAIS !!!

    « account manager » = gérant de compte

    « shop » = magasin en ligne

    « hosté, hoster » = hébergé, hébergeur (ou fournisseur d’accès)

    Je pense que l’auteur voulait dire « le M account number N’est utilisé… »

    Commentaire par titalain — 8 septembre 2011 @ 6:07 | Réponse

    • Oui c’est vrai, mais ce post se veut aussi un brouillon. Mes excuses !
      (Je préfère laisser ce billet « tel quel », et utiliser un français plus correct dans une v2 (ou anglais), mais merci pour vos remarques.)

      Commentaire par yt75 — 8 septembre 2011 @ 6:30 | Réponse

      • Ne t’excuses pas, titalain peut aussi apprendre l’anglais et s’adapter plutôt que de se prendre pour le nombril du monde et croire que le français est la seule et unique langue que l’on devrait parler.
        De plus, je pense que si tu fais ton billet, il touchera certainement plus de monde (sauf si tu comptes le présenter uniquement à un public francophone)…

        Sinon, très bonne idée, maintenant on attend les détails concrets ! :o)

        Commentaire par glagaf30 — 16 octobre 2012 @ 11:22

      • je voulais dire « Ne t’excuses pas, yt75 » bien sûr… dsl

        Commentaire par glagaf30 — 16 octobre 2012 @ 11:24

      • @glagaf

        Merci, pour les détails, oui il en faudrait quelques uns c’est vrai, un peu plus dans le texte :

        Cliquer pour accéder à copies_licences.pdf

        Mais aussi besoin de bases simples sur les rôles et séparation des rôles.
        Et commencer à écrire du code sans doute…(et trouver des personnes intéressées éventuellement)

        Commentaire par yt75 — 16 octobre 2012 @ 5:38

    • bien dit, bien vu….ou français ou anglais ou blablabla….que ce soit clean !!!

      Commentaire par mezfor — 20 septembre 2014 @ 11:17 | Réponse

  2. Ce qui est dommage dans cette modélisation c’est de considérer des parties sur des anciens concepts archaïque. Confondre « editor » et « content creator » dans une seule entité, quelle erreur pour l’avenir ! Le schéma devrait au contraire mettre les créateurs aux centre du système au lieu de les confiner comme une simple vache à lait , accessoire du décor, maillon faible … de l’account manager (organisme public?) cité X fois !!!
    Pitié, changer l’esprit de l’esprit et mettre les vraies sources de valeurs au sommet de la chaine, ce sont eux les créateurs qu’il faut valoriser, ce sont eux les créateurs qu’il faut favoriser, ce sont eux les créateurs qu’il faut valoriser… ab lib.
    Bravo quand même pour cette tentative, se poser la question de la modélisation est déjà le début de la solution, en tout cas d’une partie et selon un point de vue. A confronter. LM

    Commentaire par Morossimo — 1 novembre 2011 @ 5:20 | Réponse

    • Merci pour votre commentaire et d’accord avec vous (d’ailleurs je m’étais fait la même réflexion!, et autre version avec plein de « content creators »), mais par contre que ce soit « à la base » ne me parait pas péjoratif bien au contraire, et bon juste un diagramme …

      Si l’accent est mis ici sur les « account managers » ou « tenanciers de bibliothèques personnelles » (le fait qu’il y en ait plusieurs me paraît essentiel, donc à priori pas public, mais pourquoi pas un public aussi), c’est aussi parce que ça me paraît la chose majeure qui manque aujourd’hui, pour justement qu’il y ait un environnement de publication disponible pour les créateurs, qui ne soit pas monopolistique, ou lié à fabricant de machines ou magasins en ligne, et se ramenant à deux ou trois monstres … Et de fait techniquement quasiment tout est là si on considère une œuvre comme un site web par exemple.

      Commentaire par yt75 — 1 novembre 2011 @ 6:00 | Réponse

    • Est-ce que ce environnement où l’artiste est le centre de sa propre histoire avec ses destinataires s’approche de ce que vous pensez et dites ? http://www.nildafernandez.com/store

      Commentaire par Nilda — 1 juin 2013 @ 3:27 | Réponse

      • Oui, exactement !!
        Je fais réaliser tant pour moi-même que pour d’autres un système permettant d’exploiter ce mode de manière totalement directe, rapide et transparente pour tous les ayants-droits sur une version d’une oeuvre.
        Si vous -et d’autres- voulez vous joindre et former un groupe actif autour d’un projet commun va dans le sens de l’histoire de ces nouvelles technologies, je vous accueille volontiers car le projet lui-même doit être porté comme une « oeuvre collective ».
        Bravo et félicitations pour vos œuvres. Je m’inscris :>)
        LM

        Commentaire par Lu Morossimo — 1 juin 2013 @ 7:49

      • Réponse quasi instantanée à presque deux ans d’intervalle, impressionnant.
        Sinon le concept de shop dédié à un artiste, groupe d’artistes, mouvement ou autre, n’est pas du tout en contradiction avec le modèle proposé, qui vise à changer ce qui est acheté dans le contexte numérique, de passer de fichiers à droits d’accès atawad (any time, any where, any device), et cela dans un contexte non monopolistique ou ne se résumant pas à deux ou trois « monstres »(avec gestion obligatoire des bibliothèques personnelles chez ces « monstres »), et en garantissant d’autre part la confidentialité des bibliothèques de chacun.
        Et bienvenue à Nilda.

        Commentaire par yt75 — 2 juin 2013 @ 7:15

  3. Bon déjà ça serait en français j’aurais envi de piger et de débattre. Déjà il faut que je sorte un dico pour tout comprendre.

    Du coup le débat sur ce site je le laisse aux autres… Pourtant l’envie de participer les là.

    Bonne journée

    Commentaire par A-snowboard — 13 décembre 2011 @ 2:11 | Réponse

    • Bonne journée à vous et merci pour ce commentaire, en ce qui concerne le vocabulaire il y a un côté intentionnel, du fait de la définition de nouveaux rôles.
      Mais peut-être mieux expliqué dans le texte ci dessous (2007):

      Cliquer pour accéder à copies_licences.pdf

      Et puis à une époque n’hésitant pas à violer le dictionnaire en permanence, avec par exemple la manie consistant à qualifier des échanges épistolaires par médium électronique de virtuels ou immatériels, sans doute peut-t-on se permettre pas mal de choses, non ?

      Au XIXème il y avait l’expression « fée électricité », aujourd’hui encore plus vicieux : C’est des adjectifs qui sont détournés.
      Même si bien évidemment rien n’a bougé d’un millimètre, ni aucune nouveauté fondamentale, en en restant à :

      «Des faibles se mettraient à penser sur la première lettre de l’alphabet, qui pourraient vite ruer dans la
      folie !» (Rimbaud)
      ou :
      « Notes.
      Il a été démontré par la lettre — l’équivalent de la Fiction, et l’inanité de l’adaptation à l’Absolu de la
      Fiction d’un objet qui en ferait une convention absolue.
      » Mallarmé.

      Commentaire par yt75 — 14 décembre 2011 @ 8:05 | Réponse

      • Pas la peine de me prendre pour un vieux « con » ancré a son passé et qui refuse toute modernisation de sa langue maternelle. J’ai 25ans et moi aussi je prend quelques libertés sur le dictionnaire.

        Cependant j’estime toutefois qu’une lecture agréable est une lecture ou l’on peut comprendre a peut près toutes les phrases. Si je dois prendre un dictionnaire de traduction toutes les 30s ce n’est pas le top !

        Cela ne me gêne pas en soit qu’il y ait un ou deux mots en anglais (si traduit). Ici il y en a 7, pour 10 phrases… Cela fait pas mal je trouve, autant écrire tout l’article en anglais.

        Après on ne va pas se lancer dans un débat stérile, ce n’est pas le but de l’article.
        J’irais voir ton lien quand j’aurais un peut de temps !

        Bonne journée

        Commentaire par A-snowboard — 14 décembre 2011 @ 8:53

      • « Pas la peine de me prendre pour un vieux “con” ancré a son passé et qui refuse toute modernisation de sa langue maternelle.  »

        Ça n’était pas du tout mon intention (et je suis nettement plus vieux). Mais bon je vais m’atteler à une V2 un peu plus développée en anglais ou français avec stabilisation du lexique si je trouve le temps. Le cas aussi dans certains des fils de forums en liens à droite, celui numerama par exemple.

        Merci encore pour ton commentaire, et bonne journée à toi aussi !

        Commentaire par yt75 — 14 décembre 2011 @ 9:44

  4. Oui, en français, c’est encore une belle sauf pour les crétins au sommets type Schweitzer ou Lagarde.
    Et en expliquant, tout le monde n’est pas censé connaître les pointillés de la pensée de l’auteur. Merci.

    Commentaire par Alain — 12 janvier 2012 @ 12:18 | Réponse

    • Le texte en lien « copies_licenses » est peut être plus clair, mais vraiment rien de compliqué là dedans, cela correspond surtout à définir une séparation des rôles qui me semble nécessaire, et même « sine qua non » pour qu’un environnement de publication puisse exister sur le net (hors du dogme « tout gratuit tout pub »).

      Une explication simple serait : considérons qu’un ebook, fichier pdf, ou site web, c’est la même chose. Ce qui de fait est le cas : en consultation des pixels sur un écran (même si bien sûr certaines différences techniques, données locales ou pas, aspect 2.0 ou pas, etc).
      Mais pour simplifier ne parlons que de sites.
      Le modéle consiste à dire :
      -j’achète un site sur un magasin m des éditions x écrit par y(ou groupe d’auteurs), « petit Robert 2012 » par exemple, ou autre.
      -je le range comme je veux dans ma bibliothèque (de fait juste un favori, mais aussi associé à un « contrat commercial »)
      -j’ai accés à ma bibliothèque de n’importe laquelle de mes machines (pc mac tel tablette tv box etc), et si j’achète un site sur mon téléphone au café, il est exactement au même endroit dans ma bibliothèque en rentrant chez moi sur mon mac,pc ou e-reader.
      -je consulte ma bibliothèque à travers un « finder », plus ou moins le même sur chaque machine, mais même contenu.
      -ma bibliothèque est « tenue » par une organisation « tenancière de bibliothèque personnelle » (FAIs ?, Banques ?, poste ? Fnac ? Groupe d’éditeurs ? à voir mais licence de rôle très spécifique avec fortes contraintes de confidentialité associées dans tous les cas)
      -en consultation je clique ou sélectionne un icone ou titre et ne fait rien d’autre.
      -la session principale est entre ma machine actuelle et mon « tenancier de bibliothèque actuel »
      -Mon « tenancier de bibliothèque actuel » donne le « go ahead ou pas » pour mon accés au site (chez un hébergeur)
      -A l’achat c’est le magasin m qui donne le « go ahead d’écriture » sur le fait que j’ai acheté le produit p au « tenancier de bibliothèque » (on peut ajouter des numéros de licences, en particulier pour pouvoir revendre ou prêter, mais pas fondamentalement nécessaire pour ça, par contre si les numéros de licences sont générés par les éditeurs, cela peut « sécuriser » la confiance sur le nombre d’instances vendues dans la relation éditeurs/magasins)

      Après dans le cas plus ebook ou fichier pdf que site, il y a un « cache » sur chacune de mes machines, et si le produit p est dans le cache, ouverture directe sans interaction nécessaire avec le « tenancier de bibliothèque » (et possibilité sur les machines (à travers le « finder ») si avant déconnection longue prévue de dire « garde ça dans le cache », « vire ça du cache », point associé vert ou rouge si dans le cache ou pas, etc) mais en utilisation connectée « on s’occupe de rien ».

      Donc cela demande quelques protocoles communs c’est sûr (et une partie logicielle commune aussi sans doute, pour garantir l’inter-opérabilité et faciliter la mise en place, c’est à dire l’écriture ou définition détaillée de l’environnement), mais par contre, dans le contexte de l' »environnement », pas de nombre prédéfini pour les magasins, éditeurs, « tenanciers de bibliothèque », et hébergeurs.

      Et même principe musique film, etc.

      les principes de base sont :

      – j’ai une bibliothèque (sous forme de références à œuvres et éditions, pas des copies) chez une organisation m’en garantissant la confidentialité
      – cette bibliothèque n’est liée en aucune manière à un fabricant de machine, magasin en ligne, ou réseau social
      – je ne m’occupe d’aucun fichier en rapport à ces œuvres ou éditions : « si j’ai acheté ça, ça marche et puis c’est tout »
      – je peux déménager ma bibliothèque d’une organisation tenancière à une autre
      – je peux acheter des œuvres sur plusieurs magasins et les ranger comme je veux dans ma bibliothèque

      Vraiment c’est à peu près tout.

      Et les mêmes organisations « tenancières de bibliothèques personnelles » pourraient aussi être utilisées (jouer un rôle) autour de la problématique « identité sur le net », problématique où le fait de croire ou prôner qu’un même identifiant soit utilisé pour un utilisateur entre tous les acteurs est encore une « fausse idée reçue » :

      IDéNum, une mauvaise idée ?

      Commentaire par yt75 — 12 janvier 2012 @ 12:54 | Réponse

  5. Arrête de spammer

    Commentaire par spamminator — 18 janvier 2012 @ 11:32 | Réponse

  6. Image mise à jour

    Commentaire par yt75 — 26 janvier 2012 @ 8:06 | Réponse

  7. Le principe de fonctionnement (au niveau technique) est interressant, en revanche se sont au niveau des agents qui interviennent dans le processus qui me dérange, en particulier les providers, même si ils peuvent se trouver de manière indirecte dans un achat sur le net, je ne vois pas très bien ce qu’ils font ici.
    Autre grief l’impossibilité d’acheter en direct, j’entends par la de ne pas acheter via un distributeur, mais directement aux créatifs (par exemple, dans la musique, certains groupe par choix ne signe pas sur des label, ou ne passe pas par des distributeurs), cela rend les distributeurs obligatoire, et donnant donc moins de cartouche aux différents éditeurs pour négocier les contrat de distribution, déjà que c’est pas spécialement la joie, alors si en plus on rend les distributeurs indispensable pour une diffusion sur le net…

    Le principe est bien, maintenant il y a trop d’intervenant entre les créatifs et les consommateurs, ce qui ne va pas aider à faire baisser les prix palier pour avoir accès aux oeuvres culturelles.

    Commentaire par Stryge — 28 février 2012 @ 12:09 | Réponse

  8. Merci pour votre commentaire, les providers, diffuseurs ou « delivery network » sont là avant tout pour des raisons techniques oui, Akamai par exemple est le delivery network pour iTunes et aussi le principal pour UltraViolet je crois. Cela correspond un peu au presseur ou imprimeur dans le monde « physique », sauf que là ils sont en bout de chaîne vu que cela se fait à la demande. Ou pour un site web on peut considérer que c’est l’hébergeur.
    Pour ce qui est d’acheter en direct, on peut tout à fait imaginer que le site d’un groupe soit aussi un « shop » (de manière directe ou à travers une plateforme de shops mutualisée), mais le but étant qu’à la fin cela ne fasse aucune différence pour le « consommateur », il y a toujours besoin de certains accords et contrats au moment de la publication, ainsi que pour tous les aspects référencement.
    Après en ce qui concerne les diffuseurs, l’utilisateur n’en entend jamais parler, pour les shops ou distributeurs, cela peut-être beaucoup plus simple du point de vue des créateurs que dans le contexte « physique », à la manière d’un soundcloud par exemple, mais clairement si à la fin l’utilisateur achète une forme de licence « à vie » pour une œuvre, et non simplement un fichier, il y a besoin de certains contrats à la publication.

    Commentaire par yt75 — 28 février 2012 @ 8:07 | Réponse

  9. Interesting piece on the ebook market :

    http://gigaom.com/2012/02/29/how-the-e-book-landscape-is-becoming-a-walled-garden/

    Commentaire par yt75 — 2 mars 2012 @ 8:49 | Réponse

  10. Google take on it :

    Commentaire par yt75 — 7 mars 2012 @ 2:56 | Réponse

  11. Soit vous maîtrisez réellement l’anglais et vous pouvez toujours faire un site anglophone…. Soit vous maîtrisez le français et dans ce cas, pourquoi ne pas faire un site francophone? Elle ne vous plait pas notre chère langue? La troisième hypothèse, c’est que vous ne maîtrisiez ni l’un ni l’autre. Mais alors, pourquoi ne pas prendre des cours?

    Tout ça ne donne vraiment pas envie de vous lire… Ce qui est triste, si vraiment vous croyez en vos idées. Non?

    Commentaire par lefevre — 22 Mai 2012 @ 5:03 | Réponse

    • Oh la la comme dit plus haut, à une époque passant son temps à violer le dictionnaire, il faut sans doute utiliser de nouvelles formes pour sortir un peu des refrains virtualo lénifiants, non ?
      Ça ne vous choque pas que sur le site du ministère de la culture vous ayez une « visite virtuelle » désignant une photo panoramique ? Ou des « exposition virtuelle » sur le site de la BNF pour quelques pages web sur un sujet donné ?
      Mais il est vrai qu’il faudrait que je reprenne un peu tout ça …

      Commentaire par yt75 — 23 Mai 2012 @ 7:02 | Réponse

      • Je crois qu’il ne fait pas confondre mélange et terme et utilisation de terme anglais. :)

        Mais bon bien que ce soit pas le débat principal, il est clair que des mots français sont plus appréciables pour la bonne compréhension. Puis mince, on habite en France ! Parlons français !
        Mais on ne va pas passer la nuit sur l’usage de l’anglais !

        Commentaire par A-snowboard — 23 Mai 2012 @ 6:17

      • Bonjour yt75,
        j’ai lu avec intérêt le draft du tableau et son explication dessous, et c’est vrai que c’est une approche qui mérite réflexion.
        Avec les phénomènes récents sur les retweets (ex: Sandy), les différents débordements des media « sociaux » en général, la « curation » (j’emploie ici le terme anglais, on n’en a pas encore en français (curation existe déjà dans un autre sens)) qui redistribue parfois les cartes, peut-être est-il nécessaire de revoir ce modèle.
        En tout cas je serais ravi de pouvoir y contribuer si je le peux, afin de faire avancer ce modèle !

        P.S. Si bien sûr, le terme « virtuel » est galvaudé abusivement (c’est redondant ça non?), et pareil pour « portable » au lieu de « portatif » (= qui a sa propre source d’énergie, le « portable » lui n’en a pas mais peut être déplacé facilement (cf radio portative vs. radio portable vs. radio de salon)), ou « digital » au lieu de « numérique ».
        C’est pourtant pas difficile de ne pas se tromper.

        Au plaisir de vous lire !

        M.

        Commentaire par Mark Le Net@Vivre A Fond — 31 octobre 2012 @ 9:52

      • Bonjour,
        Merci pour votre commentaire, à propos de twitter et des réseaux sociaux, je pense qu’il y a la place sur le web pour un environnement de « publications », et que le contenu y est en fait très loin de ce que cela pourrait être (et que l’approche « ebook » actuelle pour les choses à acheter est de fait quelque peu régressive). Et ça n’est pas en contradiction avec les réseaux sociaux, qui pourraient relayer cela comme autre chose. Sur la « curation », là beaucoup plus en interaction directe sans doute, et d’ailleurs si on regarde l’édition papier actuelle, pour tout ce qui est « beaux livres » par exemple, c’est de fait beaucoup de la « curation », mais la curation c’est aussi du boulot et aussi des concepts. Et dans un contexte « site web à acheter à vie », le direct linking d’images par exemple, à partir de blog forums ou autre ne devrait pas être interdit mais bien au contraire encouragé.

        Commentaire par yt75 — 2 novembre 2012 @ 10:06

    • Très bons points de Lowery dans ce « post », en effet. Même si certains aujourd’hui n’ont déjà jamais entendu parler de Napster…
      Merci pour ce lien (en anglais, je précise), yt75!

      Commentaire par Mark Le Net@VivreAFond — 31 octobre 2012 @ 9:40 | Réponse

  12. Bravo à l’auteur du post parce qu’à lire les commentaires débattant plus sur la forme que sur le fond, il faut vraiment que ce soit une vocation pour vouloir partager.
    On peut aimer sa langue et s’adapter à l’international qui n’a que ou que faire de quelques millions de personnes qui continuent à croire que leur parole est importante dans le monde d’aujourd’hui. Les diverses tentatives de franciser les termes hi-tech (courriel, mev et autres émoticones) se sont toutes soldées par des bides. Il serait temps en effet d’accepter qu’une langue est vivante également parce qu’elle acquiert des termes venus d’ailleurs.
    Et n’oubliez pas d’éteindre vos terminaux mobiles de poches (ou terminaux intelligent c’est selon) avant qu’un fouineur ne vous envoie une tentative de filoutage… Je vous laisse traduire hein…

    Commentaire par amstradeus — 18 décembre 2012 @ 10:34 | Réponse

    • Merci pour votre commentaire, et je pense connaître à peu près les traductions ;)

      Commentaire par yt75 — 18 décembre 2012 @ 11:44 | Réponse

  13. En quoi c’est censé sortir du dogme « tout gratuit »??

    Il est vrais que la facilité d’achat et d’accès aux oeuvres , ça peut aider à faire le pas, mais il faudra me dire a quel niveau de ce schéma, le fait que les utilisateurs préfère des services gratuites aux payant est pris en compte??

    Parce que si un utilisateur préfère écouter sa musique sur deezer ou Grooveshark, ou est ce que ce modèle va l’inciter à acheter quelque chose?

    Fonctionnellement, sinon, c’est bien pensé (encore faudrait il que les acteurs se plie à un tel règlement), mais ça n’a rien de révolutionnaire ( a part la prise de position d’organisme « légaux » en tant qu’account manager…parce qu’il existe déjà des identifiants « utilisable » partout…)

    Tant que l’utilisateur à le choix de passer « aussi » par du gratuit….

    Commentaire par Effage — 4 janvier 2013 @ 9:11 | Réponse

    • Merci pour votre commentaire, et d’accord avec vous sur le fait qu’il n’y a là rien de vraiment révolutionnaire. Mais un tel environnement pourrait à mon avis changer pas mal de choses dans le fait :
      – de fournir une vraie plus value à acheter par rapport à pirater (ne plus s’occuper de fichiers dans tous les sens), à l’inverse du contexte actuel ou acheter ne peut amener que des « emmerdes » en plus.
      – de pouvoir constituer sa « bibliothèque » indépendamment d’un acteur majeur du marché.
      On a il me semble trop tendance à se focaliser sur les problèmes de formats en restant dans l’esprit « fichiers et copies », alors que la question « bibliothèques personnelles » et « références d’œuvres, statiques ou pas » reste la même quelque soit les formats. Et que d’autre part la confidentialité au sujet des « bibliothèques personnelles » devrait être prise extrêmement au sérieux pour pouvoir sortir de l’esprit « fichiers et copies ».

      Après sur le fait que si il y a aussi du gratuit cela n’a aucune chance de fonctionner, pour ce qui est du piratage, si les choses était faite dans le bon sens, cela changerait peut-être un peu :

      Piratage, Hadopi, etc


      Et en ce qui concerne les services du type « abonnement à catalogues », gratuit ou pas, le principe « achat à l’acte » a à mon avis aussi sa place, avec en particulier des formes de publications (sur le web par exemple) qui pourraient être vraiment nouvelles, le principe du tout abonnement « étouffe » la chose il me semble ..
      Mais c’est sur cela nécessiterait une grande facilité d’utilisation (et simplification des contrats).

      Commentaire par yt75 — 4 janvier 2013 @ 10:54 | Réponse

  14. Où va nous mener la politique actuelle ? L’austérité c’est moins de croissance économique et donc moins d’entrées fiscales. Pourquoi ne baisse t-on pas le train de vie de l’Etat qui est selon le FMI le septième Etat le plus dépensier au monde !

    Commentaire par Ou vont nos politiques ? — 24 avril 2013 @ 4:46 | Réponse

  15. […] cannot sell the data gathered!). See https://iiscn.wordpress.com/2011/05/15/piratage-hadopi-etc/ and https://iiscn.wordpress.com/2011/05/15/concepts-economie-numerique-draft/ (you will see a diagram and it is all in English, so don’t be worried about […]

    Ping par Report on Hadopi and piracy by P. Lescure, 2013 – France | Cybercrime Laws — 21 Mai 2013 @ 2:05 | Réponse

  16. Discussion assez constructive sur numérama, à ce sujet et piratage :
    http://www.numerama.com/magazine/26094-la-licence-globale-dans-une-proposition-de-loi-udi.html

    Commentaire par yt75 — 5 juin 2013 @ 8:39 | Réponse

  17. Bonjour,

    Cela fait plusieurs fois qu’au fil de lectures de vos commentaires (nombreux) au bas d’articles sur le sujet, je tombe sur votre page.
    Je me dois d’avouer que votre schéma est incompréhensible pour quelqu’un de moins savant que vous.

    C’est dommage, vous prétendez avoir la clef, mais la gardez pour vous.

    Redescendez…

    Bien à vous,
    Pierre

    Commentaire par Pierre — 25 juin 2013 @ 8:09 | Réponse

    • Il n’y a pas de clef, c’est simple : si j’ai acheté ça, gratuit ou pas, c’est marqué quelque part, c’est tout.
      Le viol de l’adjectif virtuel a fait beaucoup de ravages, surtout.
      Et puis les prix devraient être extrêmement baissés, aussi.
      Les bibliothèques personnelles, ça a son importance, quoi qu’on en dise.
      Mais merci pour vote commentaire,
      Bien à vous

      Commentaire par yt75 — 25 juin 2013 @ 9:55 | Réponse

  18. Bonjour,

    Connaissez-vous le partage marchand ? http://menbienscommuns.com/2014/01/04/domaine-public-retribution-equitable-et-oeuvres-a-prix-presque-nul/

    J’ai le sentiment qu’il repose un peu sur les mêmes bases que votre système, même si j’ai des difficultés à appréhender les détails du vôtre. Qu’en pensez-vous ?

    Bien à vous,

    Menbiens

    Commentaire par Menbiens — 23 février 2014 @ 9:14 | Réponse

    • Bonjour,

      Pour moi c’est avant tout une idée sur les prix et leurs évolutions (et je ne vois pas pourquoi un principe unique est nécessaire dans ce domaine), alors qu’à mon avis le problème actuel est plus en lien avec les plateformes de diffusion et vente, plateformes qui se développent en mode « vertical », avec le même acteur gérant à la fois votre bibliothèque personnelle et vendant les œuvres. Par contre ces plateformes (amazon, gg play, ultraviolet) sortent u modèle « fichiers et copies », pour passer à « achat de droits de consultation », et il est clair que c’est la bonne direction (comme le web d’une certaine manière).

      Commentaire par yt75 — 24 février 2014 @ 9:34 | Réponse

  19. on est en 2015 et je comprends toujours rien ; symptomatique d’une époque où moins on se fait comprendre plus on se croit intelligent….je suis enseignant et je vous donnerai bien des leçons de pédagogie…dommage car, comme beaucoup, je sens que il y a beaucoup à apprendre sur ce site…pourtant ça fait quelques temps que j’essaie de vous comprendre…la vulgarisation n’est pas synonyme de médicocrité. a+

    Commentaire par franck — 10 avril 2015 @ 3:27 | Réponse

    • C’est très simple, il vous suffit de comprendre par exemple qu’un ISBN n’identifie pas « un livre », au sens l’objet que vous venez d’acheter, mais une certaine édition d’une œuvre.
      Et que ce qu’il manque surtout à mon avis pour le contenu sur internet, c’est une séparation entre des « tenanciers de bibliothèques personnelles » (au sens liste de référence de type ISBN, ou droits d’accès à ces références) d’une part, et magasins et éditeurs d’autre part.
      L’article en lien (copie licences) peut-être plus clair. Mais enfin l’option 3 ou 4 monstres sur le contenu légal, et plutôt sur un modèle abonnement à catalogues se met maintenant en place, donc tout cela n’a plus forcément beaucoup d’importance.
      Quant à la « m&diocrité », je suppose que vous êtes de ceux goutant au viol de l’adjectif virtuel pour le contenu numérisé et « le monde du net » sans problème, c’est ça ?
      Mais merci bien pour votre commentaire.

      Commentaire par yt75 — 10 avril 2015 @ 3:42 | Réponse

  20. Bonjour,

    Pour signaler à la Sacem cette conférence :

     »

    Mardi 22 novembre de 14 h à 19h à La Sacem – Auditorium Debussy-Ravel
    225 avenue Charles de Gaulle – Neuilly sur Seine 92200

    COLLECTER ET RÉPARTIR LES DROITS DU STREAMING, QUELLES PROBLÉMATIQUES ?

    Introduction à 14h

    GÉRER LES DROITS DANS LE STREAMING : MODALITÉS ET ENJEUX
     »

    Ce qui pose un problème tout autre : celui de la consommation d’oeuvres au fil de l’eau et pas forcément en totalité.
    Bref, un peut comme l’eau, le gaz ou l’électricité, nous avons maintenant qu’à ouvrir un des robinets (ceux de notre box, mobile, wifi) pour nous remplir des ressources numériques, et donc, mais avec quelle unité de mesure, qui tient les comptes ?.

    Au plaisir de vous lire.

    Commentaire par Lu Morossimo — 19 novembre 2016 @ 11:16 | Réponse

    • Merci pour l’info, un des problèmes du modèle « tout à l’abonnement » est aussi à mon avis que cela pousse à un nombre très restreint d’acteur (avec les pourcentages associés).

      Commentaire par yt75 — 19 novembre 2016 @ 12:42 | Réponse


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