C’est clair, il n’y a qu’à voir le nombre de fois qu’un enfant peut regarder le même DVD, ou écoute en boucle d’un disque sur une période, livres de chevet (ou plutôt plusieurs éditions ou copies dispo un peu partout).
Abonnement à des catalogues et streaming : un côté asphyxiant, et les abonnements ça sent le gaz, l’électricité, le téléphone, la « customer retention », et ça ne favorise en rien (ou pas vraiment) une quelconque nouveauté, puisque une nouveauté au catalogue ne change pas le revenu des abonnements, toute la promo sur les services et non les oeuvres, tendance extrême à la concentration, confiance au service/opacité sur les principes de redistribution (voir blog posts spotify à ce sujet). Eh quoi, ce truc n’est pas au catalogue ?
Et abonnement arrêté, plus rien ! Bibliothèque partie ! (ou fichiers à s’occuper)
Achat d’une œuvre à regarder n’importe quand, « coup de cœur » achat impulsif ou pour essayer, constitution d’une bibliothèque, une des raisons majeures du succès du piratage, couillons de collectionneurs ! Et quoi ?
Note : voir video de Loren Feldman sur spotify par exemple au sujet du streaming :
Note 2: de fait pris l’abonnement illimité à spotify, en espérant quand même que tout ne se termine pas en abonnements à catalogues, pour l’écrit par exemple clairement non adapté, et même pour la video ..
lol
Commentaire par dood — 6 août 2011 @ 12:40 |
L’article est écrit en langage informatique ?
Commentaire par steffan45 — 23 janvier 2014 @ 2:49 |
Non
Commentaire par yt75 — 23 janvier 2014 @ 6:22 |